Pascal, Guy, Christine, leurs enfants et ceux de François
Je ne suis pas sûr que ces quelques mots puissent apaiser votre chagrin, mais je voulais que vous sachiez que je suis là si vous avez besoin de moi.
J’espère que lorsque votre douleur d’estompera, seuls les meilleurs moments resteront.
Moi, je garderai en mémoire sa gentillesse et sa bonne humeur.
Je pense très fort à vous,
Affectueusement