Jean-Pierre TRONCHON

Je prends la parole au nom de tous les collègues, ceux qui sont présent aujourd’hui ici et ceux qui sont présent en pensée avec nous, pour m’adresser à toi, Jean-Pierre. Nous sommes venus te rendre hommage, être présent pour toi, de même que tu l’étais pour nous. Plus qu’un collègue, tu étais un partenaire, un ami.
Tu ne disais jamais « non », que ce soit à l’une de nos sorties, telles que la sortie bateau, la descente du Rhône en paddle, la sortie volley, un voyage avec le groupe photo, au bar pour une soirée quizz par exemple, ou aux restaurants gastronomiques.
Tu ne disais jamais « non », tu étais toujours là pour rendre service en t’impliquant pour les autres comme si c’était pour toi que tu le faisais. Et plus encore, tu étais notre encyclopédie. S’il y avait une information à trouver, on pouvait compter sur toi, tu savais où chercher, tu maitrisais les outils, tu avais toutes les bonnes combines ; mais ça, ce n’était que pour les cas où tu ne connaissais pas déjà la réponse, car ta grande mémoire ne te faisait jamais défaut. Tu as su partager et transmettre ton savoir à travers toute l’entreprise, auprès d’un bon nombre de collègue. Tu étais toujours volontaire pour t’impliquer dans un nouveau projet et apporter ta pierre à l’édifice.
Toute cette énergie positive déployée autour de toi, ton dévouement, ta gentillesse, ton implication méritait bien une petite pause après le repas de midi, afin de recharger les batteries pour la suite de la journée.
Pour nous, ton implication dans la vie de l’équipe était fédératrice. Tu étais, entre autres, notre épicier, tu nous régalais, que ce soit avec les châtaignes, les figues, cerises, kiwi, du Kouign Amann, des marrons glacés ou les bonbons Haribo. Un peu de baume au cœur, du bien aux papilles, car c’est toujours meilleur lorsque c’est partagé.
Tu étais discret, calme, attachant ; une force tranquille en somme. Discret, et pourtant, tu étais l’homme qui nous reconnaissait de loin sur l’autoroute entre Nancy et Genève, et qui venait s’approcher en roulant juste à côté de nous pour nous faire la bonne surprise de nous saluer. Le genre d’homme prêt à récupérer ses collègues à l’arrêt de bus régulièrement le matin pour nous arranger.
J’ai aussi entendu dire que tu avais marqué des esprits avec ta jovialité lors d’un mime du skieur poussant sur ces bâtons.
Tu nous as aussi fait rêver…
Tu ne manquais pas de nous faire partager les paysages magnifiques que tu arborais lors de tes différents voyages, notamment au mois de novembre quand nous étions au travail, dans la grisaille, le froid et les journées qui raccourcissent.
Tu nous faisais rêver aussi en tant que bookmaker… tu rassemblais nos contributions pour jouer ensemble à l’Euromillion (ou comment risquer de saboter le service Fiabilité de Rolex si nous avions tous gagner) 
Bien que la probabilité de gagné soit infime, grâce à toi, notre imagination et notre créativité, était sans limite.
Toute cette énergie positive déployée autour de toi, ton dévouement, ta gentillesse, ton implication mérite que le long repos que la vie t’a imposé, soit fait d’apaisement, et avec des belles images que nous conserverons pour toujours.
Chonchon, tu restes avec nous. Tes partenaires du groupe photo gardent des images de voyage et moments partagés avec toi. Tes partenaires de jeu, en escape game ou sur Battelfield, avanceront dans leurs quêtes pour toi, « coroner chonchon ». Ton savoir perdurera. Ta présence au quotidien ainsi qu’aux différentes sorties, ta présence restera. Nous aurons de nombreuses pensées pour toi à de nombreuses occasions encore. Tu nous manque déjà.

Très attristée d'apprendre le décès de Jean-Pierre, recevez Madame, Monsieur mes plus sincères condoléances.
Je garderai de Jean-Pierre le souvenir d'un collègue toujours plein de bonne humeur, de gentillesse et d'attentions pour les autres. C'était un plaisir de travailler avec lui.
Bien avec vous en pensées dans ce moment difficile.
Marina

Je partage ta tristesse de voir partir beaucoup trop tôt celui que tu aimais et que tu évoquais avec tellement d'amour. Sylvie, je te souhaite tout le courage et la force qu'il faut pour affronter cette terrible épreuve. Je te présente à toi et à ta famille toutes mes condoléances. Ta collègue Corinne